Richard Plante est décédé le 27 mars dernier à l’âge de 80 ans. Époux d’Helene depuis 1973, père de Heidi et de Stéphanie, et grand-père d’Ian Richard. M. Plante est né à Valleyfield, au Québec, le 15 février 1940. Il vient d’une famille de sept enfants et il a travaillé dès son jeune âge pour aider sa famille. Il a servi dans l’armée canadienne de 1960 à 1963, avant d’aller travailler à Frobisher Bay (aujourd’hui Iqaluit), sur l’Île de Baffin. Il a passé sa vie familiale à Windsor, où il a travaillé pendant 33 ans dans une usine de Ford Motor Co. jusqu’à sa retraite en 2005.

Il était très fier de sa francophonie. Il était membre dévoué du Club Richelieu Windsor depuis 1981. Alors qu’il était président du Club en 1984-85, le projet du parrainage du Club Richelieu « Les Campagnards de Pointe-aux-Roches » a été réalisé. Richard a travaillé dans une équipe, dirigée par R/Jules St-Denis, pour la construction de la Résidence Richelieu, ouverte en 1990 pour héberger les aînés francophones. Il en était très fier et il a même siégé sur son conseil d’administration durant la dernière année de sa vie.

De plus, Richard a été mandataire à deux Congrès Richelieu International, dont celui de Windsor, en 2001 et celui de Lille en France, en 2003. Pendant ce dernier voyage, il a eu l’occasion de visiter la Normandie et la Bretagne, pour voir les sites historiques et les cimetières de nos soldats, dont celui de son oncle. Il nous en a fait part lors d’une belle présentation pendant un souper Richelieu, un évènement auquel il assistait régulièrement avec joie. Depuis des années, Richard a entamé le chant Richelieu, à la fin de chaque souper.

Ses passe-temps incluaient jouer au billard et jaser chez Tim Hortons avec ses amis. Il était un grand partisan des Canadiens de Montréal et du curling canadien. Il aimait la compagnie de ses chiens, Cajun et Marlo « boxer boy ». Richard a toujours œuvré très fort afin d’améliorer la qualité de vie de sa famille et celle d’autres personnes. On se souviendra chaleureusement de sa générosité, de son bon sens de l’humour et de sa joie de vivre.

Source: Club Richelieu Windsor